Documentaire–fiction, il porte un regard à la fois attristé et moqueur sur le sort que subit Dakar, capitale sénégalaise qui perd sa splendeur à cause de la désinvolture et de l’occupation anarchique de l’espace public et, plus particulièrement, de la rue. En effet, le réalisateur part des souvenirs d’une époque où ‘’il faisait bon vivre’’, pour se plaindre et s’indigner du fait que le laisser-aller a fait de la capitale sénégalaise une ‘’rue publique’’. Appelant ainsi à une prise de conscience du détournement d’objectif dont la rue, chose publique, a fait l’objet, au nom d’une conception réductrice de la liberté et de la démocratie.
- Mercredi 1er Mai à 19h30: Centre Culturel Léopold Sédar Senghor de Pikine
- Jeudi 2 Mai à 19h30: Centre socio-culturel de Yoff
- Vendredi 3 Mai à 19h30: Foyer des jeunes de Guédiawaye
- Dimanche 5 Mai à 19h30: Foyer des jeunes de Grand Yoff